Dans le nouvel album de Rubin Steiner, il y a des filles synthétiques qui chantent, des synthétiseurs chaleureux, des pulses techno jamais trop rapides, des boîtes à rythmes qui ne savent pas faire la différence entre house et techno, des basses disco, des tubes pour chaque moment de la journée, et de la danse. Et il y a surtout une envie féroce de d'humaniser les machines électroniques, pour ne pas qu'elles prennent le dessus : qu'elles restent des outils, qu'elles restent à leur place. D'ailleurs, en concert, il y a une batterie et une guitare basse pour accompagner les synthés.
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